dynastart
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C'est officiel, la chaîne beIN Sports a officiellement obtenu l'accréditation de son correspondant en Algérie et commencera son travail à partir du 1er mai.
C'est ce qu'a révélé une source auprès de beIN Sports à Doha. Après plusieurs refus, le gouvernement algérien a finalement donné son accord pour l'accréditation d'un correspondant pour la chaîne et cela afin de couvrir toutes les activités sportives qui se déroulent sur notre territoire.
Mais n'a pas cédé à la demande du groupe qatari d'ouvrir un bureau comme l'avait demandé Nasser Al Khelifi, le patron de la chaîne sportive qatarie. La chaîne beIN Sports a choisi le journaliste Hocine Bensalah, ex-Dzair TV pour la représenter en Algérie. Il travaillera de concert avec l'équipe des journalistes algériens qui travaillent à Doha. Bien sûr la télévision sportive qatarie est plus intéressée par les activités de l'Equipe nationale algérienne la seule équipe arabe qualifiée au Mondial du Brésil.
Cette affaire met en tout cas un terme au conflit entre la télévision sportive qatarie et le gouvernement algérien, suite à la guerre des mots qui avait fait rage entre l'Eptv et l'ex-Al Jazeera Sport. Celle-ci à l'époque avait accusé l'Eptv d'avoir piraté son signal pour diffuser le match de barrage qualifiant pour la Coupe du monde Burkina-Faso / Algérie, alors que la télévision algérienne avait accusé la télévision sportive qatarie d'avoir fait du chantage: les droits d'image contre l'ouverture d'un bureau de beIN Sports à Alger.
Finalement, après plusieurs mois de bataille médiatique entre les responsables de la télévision qatarie et les responsables algériens de l'audiovisuel, la crise est réglée à moitié et la hache est momentanément enterrée. Après avoir été déboutée par la justice algérienne, beIN Sports a finalement mis de l' «eau-de-vie» dans son verre et a introduit une demande officielle pour l'accréditation d'un correspondant à Alger.
Le gouvernement algérien à travers son ministère de la Communication a accepté d'accorder une accréditation, mais n'a pas plié en offrant un bureau à la puissante chaîne sportive qatarie. Cette affaire a été réglée en grande partie grâce à la médiation de Hafid Derradji, un homme clé dans les pourparlers entre beIN Sports et le gouvernement algérien.
L'affaire a été encouragée par les affaires politiques quand l'émir du Qatar, le cheikh Tamim, (très impliqué dans les affaires sportives de son pays) a rendu visite à l'Algérie en pleine campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril. Sa présence (très significative durant cette période cruciale) et son soutien politique à l'Algérie a ouvert les portes du dialogue entre les deux pays et éloigné toute idée de révolution arabe dans la région.
Al Jazeera a cessé d'attaquer Alger politiquement et Doha a manifesté un intérêt certain pour des projets commerciaux importants en Algérie. Cette atmosphère des affaires et de la politique a véritablement servi de tapis rouge pour ouvrir une nouvelle page dans les relations audiovisuelles entre les deux pays. L'accréditation d'un journaliste pour beIN Sports est un geste de bonne volonté du gouvernement algérien en attendant d'effacer le cryptage et de voir plus clair dans les relations entre le groupe Al Jazeera dans toute son entité et les responsables de l'audiovisuel en Algérie.
C'est ce qu'a révélé une source auprès de beIN Sports à Doha. Après plusieurs refus, le gouvernement algérien a finalement donné son accord pour l'accréditation d'un correspondant pour la chaîne et cela afin de couvrir toutes les activités sportives qui se déroulent sur notre territoire.
Mais n'a pas cédé à la demande du groupe qatari d'ouvrir un bureau comme l'avait demandé Nasser Al Khelifi, le patron de la chaîne sportive qatarie. La chaîne beIN Sports a choisi le journaliste Hocine Bensalah, ex-Dzair TV pour la représenter en Algérie. Il travaillera de concert avec l'équipe des journalistes algériens qui travaillent à Doha. Bien sûr la télévision sportive qatarie est plus intéressée par les activités de l'Equipe nationale algérienne la seule équipe arabe qualifiée au Mondial du Brésil.
Cette affaire met en tout cas un terme au conflit entre la télévision sportive qatarie et le gouvernement algérien, suite à la guerre des mots qui avait fait rage entre l'Eptv et l'ex-Al Jazeera Sport. Celle-ci à l'époque avait accusé l'Eptv d'avoir piraté son signal pour diffuser le match de barrage qualifiant pour la Coupe du monde Burkina-Faso / Algérie, alors que la télévision algérienne avait accusé la télévision sportive qatarie d'avoir fait du chantage: les droits d'image contre l'ouverture d'un bureau de beIN Sports à Alger.
Finalement, après plusieurs mois de bataille médiatique entre les responsables de la télévision qatarie et les responsables algériens de l'audiovisuel, la crise est réglée à moitié et la hache est momentanément enterrée. Après avoir été déboutée par la justice algérienne, beIN Sports a finalement mis de l' «eau-de-vie» dans son verre et a introduit une demande officielle pour l'accréditation d'un correspondant à Alger.
Le gouvernement algérien à travers son ministère de la Communication a accepté d'accorder une accréditation, mais n'a pas plié en offrant un bureau à la puissante chaîne sportive qatarie. Cette affaire a été réglée en grande partie grâce à la médiation de Hafid Derradji, un homme clé dans les pourparlers entre beIN Sports et le gouvernement algérien.
L'affaire a été encouragée par les affaires politiques quand l'émir du Qatar, le cheikh Tamim, (très impliqué dans les affaires sportives de son pays) a rendu visite à l'Algérie en pleine campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril. Sa présence (très significative durant cette période cruciale) et son soutien politique à l'Algérie a ouvert les portes du dialogue entre les deux pays et éloigné toute idée de révolution arabe dans la région.
Al Jazeera a cessé d'attaquer Alger politiquement et Doha a manifesté un intérêt certain pour des projets commerciaux importants en Algérie. Cette atmosphère des affaires et de la politique a véritablement servi de tapis rouge pour ouvrir une nouvelle page dans les relations audiovisuelles entre les deux pays. L'accréditation d'un journaliste pour beIN Sports est un geste de bonne volonté du gouvernement algérien en attendant d'effacer le cryptage et de voir plus clair dans les relations entre le groupe Al Jazeera dans toute son entité et les responsables de l'audiovisuel en Algérie.
