Welcome to Produsat Forum

This is a sample guest message. Register a free account today to become a member! Once signed in, you'll be able to participate on this site by adding your own topics and posts, as well as connect with other members through your own private inbox!

Register Log in

Le hacker algérien Hamza Bendelladj n’a pas été condamné à mort

chenoui70

Super Modérateur
Member
Joined
Jul 9, 2015
Messages
1,278
Reaction score
79
Points
318
Offline
Hamza-Bendelladj-le-jeune-hacker-alg%C3%A9rien-condamn%C3%A9-%C3%A0-mort-aux-Etats-Unis.jpg


Bonne nouvelle pour le hacker algérien tout sourire, qui échappe à la peine de mort, selon les rumeurs de ces derniers jours. Il reste néanmoins dans une très mauvaise posture, en espérant que le gouvernement algérien fasse son devoir.
« Parmi ses hauts faits d’armes, le jeune hacker, comparé davantage à un justicier du piratage informatique qu’à un escroc de haut vol, était parvenu à entrer dans l’antre électronique de 217 banques en piratant les boîtes mails, pour y dérober la coquette somme de 4 milliards de dollars. Un juteux butin dont il a fait profiter plusieurs organisations non gouvernementales en Afrique, mais aussi des ONG palestiniennes à qui il a reversé plus de 280 millions de $. »
Le hacker algérien Hamza Bendelladj, détenu aux États-Unis depuis mai 2013, n’a pas été condamné à mort.
Son avocat américain commis d’office a affirmé à El Watan que « la rumeur sur sa condamnation à mort est fausse. Il connaîtra sa peine vers la fin du mois d’octobre ».
L’ambassadrice américaine, Joan Polaschik, a aussi démenti, sur son fil Twitter, la condamnation à mort de celui qu’on surnomme le « hacker souriant » après son arrestation hyper-médiatisée en Thaïlande, en janvier 2013, et son extradition vers les États-Unis.
Elle a précisé que « les crimes informatiques ne sont pas des crimes capitaux et ne sont pas punis par la peine de mort ». Hamza Bendelladj a plaidé coupable, le 26 juin dernier, pour avoir « développé, distribué et contrôlé SpyEye, un cheval de Troie bancaire malicieux ».
Chacun de ces chefs d’inculpation pourrait coûter une peine de 5 à 20 ans et une amende de 14 millions de dollars. Selon diverses sources, il risque une peine de prison de 30 ans.
Mais selon maître Strongwater, « les procureurs n’ont pas encore défini quelle peine ils vont recommander à la cour lors de l’audience qui se tiendra fin octobre ». Son procès était prévu le 5 octobre, mais le plaidoyer de culpabilité évite au gouvernement américain de longues procédures qui auraient coûté trop cher aux contribuables. Hamza Bendelladj lui-même n’en a pas les moyens.
 
Top